Depuis ce matin, je suis officiellement malade, étant donné que : a) je suis sous antibiotiques et b) je suis en arrêt maladie pour trois jours. C'est-y pas un progrès ça ?
Ceci dit, vu la météo (un beau ciel bleu comme ça, si ça tue pas les microbes...), je ne me suis pas interdit d'aller constater sur pièce le retour du retour du printemps dans les rues de Paris et sur les grands boulevards :
Face au Grand Rex, un platane ose enfin ses premières feuilles, cet après-midi vers 15h.
Et puis ça m'a permis de m'acheter de la lecture : le tome 2 de L'histoire des chemins de fers en France de François Caron, que j'attendais depuis des années et un ouvrage très alléchant de Pierre Serna, La république des girouettes, sous-titré 1789-1815 et au-delà, une anomalie politique : la France de l'extrême centre. Je vous en dirai des nouvelles dans la rubrique appropriée. Et un peu de musique au passage, une compil de Compay Secundo, que je recommande tous azimuths.
Résultat de quoi, après cette performance sportive majeure (une petite heure de marche nonchalante), je suis rentré aussi crevé que le marathonien moyen. La pleine forme, on vous dit. Finalement, la bonne vieille crève, moyennant de la cultiver un peu, ça a du potentiel.
Le Plume vous salue bien.
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