29 avril 2011

Ces quelques fleurs...

Pour le week-end, un câprier en fleur venu du désert de Judée.


Nahal David, 15 avril 2011.

Le Plume vous salue bien.

27 avril 2011

Fenêtre sur mur

En préalable à des travaux annoncés, réalisation de sondages dans les murs de l'immeuble aujourd'hui. En réalité, il s'agit d'ouvrir des fenêtres donnant sur le mur, à traver enduits et plâtres, pour pouvoir surveiller l'état du bâti.

Ajoutons que ces ouvertures sont ensuite rebouchées par des plaques de plexiglass. En voilà, une idée déco !

Le Plume vous salue bien.

26 avril 2011

Après Pâques...

Du travail, et puis du travail, et puis une traversée de Paris pour aller rendre visite à mes réseaux dans les beaux quartiers, Saint-Germain-des-Prés ou la porte Dauphine.

Entre les deux, itinéraire au petit bonheur la chance, suivant jusqu'au bout la rue de l'Université (longue comme un mauvais cour magistral). Du coup, passé derrière le musée du quai Branly, où je ne suis jamais allé ; d'abord, ce sont les méchants qui ont pillé le musée de l'Homme. En tout cas, bravo : déguiser un musée en gigantesque bowling de banlieue, il fallait le faire.

Retour au bureau en fin d'après-midi, boucler quelques trucs ; avant de partir, petit tour dans les bureaux déserts inondés par la lumière du soir.


Centre Bièvre, vers 19h.

Côté clarinette, je claironne à tout va : le clairon, c'est le registre aigu, que je commence à pratiquer pour de bon. Gagner une octave sur son instrument, d'un seul coup d'un seul, c'est comme découvrir une nouvelle pièce à sa maison... Du coup tout plein de morceaux deviennent jouables, peu ou prou. Ça vaut la peine d'essayer.

Le Plume vous salue bien.

Appareil numérique compact Pentax Optio RZ10.

Camille Saint-Saens, Tarentelle pour flûte, clarinette et piano, op. 6b.

25 avril 2011

En flottement

Dernier jour de vacances/week end, en apesanteur avant que l'interrupteur gravtationnel ne soit basculé sur ON demain matin.


Plage de Ein Gedi, 12 avril 2011.

Ceci dit, bien que la semaine passée ait été censément une semaine de congé, j'en ai passé une bonne moitié au boulot. Ça devrait atténuer le choc.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier Pentax MX, film Fuji Pro160S, objectif SMC Pentax-M 135mm f:3.5.

24 avril 2011

Joyeuses Pâques


Jérusalem, église du Saint-Sépulcre, 18 avril 2011.

Le Plume vous salue bien.

23 avril 2011

En ce jardin

Ein Gedi, c'est de l'eau au milieu du désert : trois sources qui sortent des montagnes du désert de Judée, qui en font l'une des oasis les plus fertiles de la région. Les kibboutzim qui s'y sont installés l'ont utilisé pour créer, outre des palmeraies, un jardin botanique accueillant des plantes tropicales du monde entier. C'est dans ce jardin que les bungalows de l'hôtel sont installés, entre baobabs, palmiers, cycas, palétuvier, arbres à pain, arbres à haricots, et quantités d'autres dont j'ignore le nom.


Parmi les arbres-mystères, Ein Gedi, 13 avril 2011.

Il y a de belles épines sur certains arbres. Mais pas d'arbre de la connaissance, que je sache. Sinon je lui aurai demandé comment réparer mon réseau !

Le Plume vous salue bien.

Boîtier numérique compact Pentax Optio RZ10.

21 avril 2011

Jérusalem

Passage à Jérusalem avant de repartir l'autre jour - en vitesse, puisque nous pensions avoir un avion à prendre. Suffisamment pour en avoir une impression mitigée.


Jérusalem : le dôme du rocher vu de la montée e-Saraya, 18 avril 2011.

Il faut dire aussi qu'après une semaine d'Ein-Gedi, débarquer dans la vielle ville par la porte de Damas, c'était un peu rude, comme transition. Vendeurs de tout et rien dont les livreurs traversent la foule avec leurs petits chariots, pèlerins chrétiens arrivant au terme de leur pérégrination ; dans le quartier chrétien, justement, les popes déambulent entre les bijoutiers fantaisie avec le pas décidé qui convient au clergé. Au pied de l'esplanade des mosquées, le mur des lamentations, qui tente de combiner le poids du symbole avec une esplanade d'une insigne laideur - cicatrice de la guerre des six jours, qui en a laissé tant.

Le Plume vous salue bien.

20 avril 2011

Retour au terrier

Et voilà : après une brève escale à Bruxelles, nous sommes rentrés à notre terrier. Pour en ressortir immédiatement : il y avait du boulot, et on avait prévu d'âtre frais et dispo la veille au soir... mais je ne cache pas que j'étais plus efficace aujourd'hui qu'hier, après une vraie nuit de sommeil.


Un daman des rochers du côté du Nahal David, Ein Gedi, 16 avril 2011.

J'ai même réussi à faire développer un rouleau pris là-bas, industrieux mammifère que je suis. Ne comptez donc pas sur l'arrêt définitif de cette série de photo sous le vil prétexte que nous sommes rentrés.

Demain, je vais tâcher de ne pas oublier que j'étais encore en vacances cette semaine ; hier et aujourd'hui, c'était juste pour faire l'état des lieux après les pannes (non résolues d'ailleurs) de la semaine dernière. J'ai réussi à réparer suffisamment pour pouvoir continuer à travailler de la maison !

Le Plume vous salue bien.

Boîtier Pentax MX, film FUji Pro 160S, objectif SMC Pentax-M 135mm f:3.5.

18 avril 2011

Le passage

Pessah, la Pâque : la fête du passage, commémoration de l'errance des tribus d'Israël dans le désert après leur sortie d'Égypte. Le premier jour, c'est Seder ; lors du dîner de Seder, la tradition veux qu'un enfant interroge le chef de famille : « En quoi ce soir est-il différent de tous les autres soirs ? &aquo; En réponse à quoi on fait le récit des événements bibliques fêtés ce soir-là.

Seder est l'une des fêtes majeures du judaïsme ; elle est très suivie en Israël où, par exemple, la compagnie nationale ElAl ne fait voler aucun avion pendant cette journée. Donc : on aurait dû se douter de quelque chose en croyant prendre un vol ElAl le soir de Seder.


La nuit tombe sur Ben Gurion International Airport...

En ce qui nous concerne, la réponse à la question rituelle serait donc, non pas la haggadah, mais : c'est le seul soir de l'année où l'avion pour Paris que nous croyions prendre ne vole pas. Les billets étaient pour hier soir ; la fatigue d'avant le départ aidant, nous avions raté ce petit détail.

Finalement nous rentrons par une autre compagnie, cette nuit. Plaie d'argent n'est pas mortelle, etc. Et huit heures de retard valent mieux que quarante ans d'errance.

Le Plume vous salue bien.

17 avril 2011

Statues de sel

Vague de chaleur sur la Mer Morte : 36° à l'ombre cet après-midi. Du coup, partis en vadrouille automobile (climatisée) vers le sud de la Mer Morte. Ein Bokek, complexe d'hôtels de luxe des années 1970, où nous allions pour acheter... des couches. Plus au sud ce sont les Dead Sea Works, complexe industriel entre carrières et salines : chimie, sidérurgie, au cœur du désert. Et toujours ces paysages ahurissants.


Les salines du lac Sud de la Mer Morte.

C'est aussi la région, dit-on, de l'antique Sodome. Personnellement on ne peut pas dire que ce genre de météo m'inciterait au stupre, mais bon, chacun son truc. Par contre pour les statues de sel c'est plutôt un bon coin. D'ailleurs, au bord de la route, les panneaux signalent comme point remarquable « la femme de Lot ». Arrêt photo. Le petit bonhomme, depuis son siège enfant : « Mais, Papa, c'est juste un gros caillou ! » Pas faux.

Demain, Jérusalem, Tel Aviv, Paris. Il faut bien.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier numérique Pentax K-m, objectif SMC Pentax-M 135mm f:3.5.

15 avril 2011

Happy trails

Après le spa, la réserve naturelle. À quelques kilomètres d'ici, la principale richesse d'Ein Gedi : l'eau. Elle surgit des montagnes du désert de Judée, en cascades spectaculaires : la source du roi David, qui se jette dans la Mer Morte tout proche non sans avoir irrigué les terres d'Ein Gedi et rempli moultes bouteilles plastiques portant le logo de l'ibex, le bouquetin local.

Autour de cette vallée, la réserve naturelle d'Ein Gedi, donc. Avec des pistes bien balisées, certaines faciles et d'autres moins, marquées par des panneaux les conseillant aux fit hikers only. J'en ai essayé une et j'ai dû me rendre à l'évidence, je ne suis loin d'être aussi fit que je devrais l'être. Mais la beauté de la montagne aride mérite bien un petit coup de chaud.


Réserve naturelle d'Ein Gedi, ce matin.

Puis, retrouvé ma petite famille qui était restée autour de la piscine. Et repris l'activité principale que nous nous étions fixée pour ce voyage : le repos.

Factoïde frappant : en dehors de l'hébreu, le français est de loin la langue la plus pratiquée des visiteurs - nous ne sommes pas les seuls à profiter de nos vacances de printemps. Au demeurant, alors que nous étions atiffés de pied en cap pour le dîner de shabbat, des amis parisiens ont débarqués - pas complètement par hasard, ils nous savaient dans le coin. Toujours est-il que ça concluait sympathiquement la journée.

Le Plume vous salue bien : Shabbat shalom !

Boîtier numérique Pentax K-m.

14 avril 2011

Pieds de touriste façon gros sel

Un incontournable : le bain dans la Mer Morte. L'autre jour je m'étais contenté de prendre des photos ; cette fois-ci j'y ai mis mon auguste personne, à commencer comme il se doit par le siège. Par contre, pour ce qui est de lire le journal, vous repasserez : depuis quelques jours souffle un bon vent du Nord, qui lève de jolies petites vagues. D'autant plus déstabilisantes que le volume immergé est plus faible qu'accoutumé : attention à ne pas se couper sur le fond en se rattrapant...

Nous étions en effet non pas à la plage d'Ein Gedi mais au spa du même nom - où l'on peut rejoindre la mer à condition de traverser une vaste étendue de boue et de sel. La boue sulfureuse est excellente en bain de boue paraît-il ; le sel, lui, forme une épaisse croûte le long de la mer, et en dessous, et tout autour.


Spa d'Ein Gedi ce matin.

Sur une petite lanière de sable intercalée entre deux bancs de sel, la plage : chaises en plastiques et paillotes pare-soleil, baigneurs et promeneurs, dont un groupe de femmes palestiniennes plutôt âgées en voyage organisé. Baignade pour moi, sous les cris de ma progéniture qui semblait me croire promis à une noyade prochaine - ce qui semble difficile, le principal risque étant de se retrouver salé comme un anchois.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier numérique Pentax K-m.

13 avril 2011

Masada

Le désert. La montagne. En bas, la mer morte. La chaleur, mais pas trop ; du vent, mais pas trop. Et, tenu par la main, ou sur les épaules, ou dans les bras, un petit garçon coquin, mais pas trop. Bref : visite à Masada dans des conditions idéales.


Massada, désert de Judée, en fin de matinée.

Cet après-midi, poursuite des efforts à distance pour remettre sur pied le réseau de ma fac. Et dix minutes après que l'on ait enfin remis dans le droit chemin le routeur fautif, nouveau plantage. Heureusement personne n'a pour l'instant réclamé le suicide collectif des informaticiens.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier numérique Pentax K-m.

12 avril 2011

...à plus bas que mer !

Me voici donc au plus bas : 400 mètres en dessous du niveau de la mer, à peu de chose près. Tout près du bord de la Mer Morte, où je suis allé me promener tout à l'heure...


La zone de baignade d'Ein Gedi, Israël, cet après-midi.

En face, les montagnes de Jordanie. Elles paraissent désertes le jour, mais aux lampadaires qui s'allument en soirée, on devine que l'on a affaire à la riviera locale. Allez y faire un tour parait délicat, ceci dit. C'est ballot.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier numérique Pentax K-m.

11 avril 2011

Des sommets de l'Olympe...

Vol sans histoire hier - par dessus l'Est de la France, la Suisse, l'Italie du Nord, le littoral Croate, la Bosnie, la Macédoine et la Grèce, du Mont Olympe à Rhodes en passant par Eubée, Athènes et le vaste test Rorschach des Cyclades, mangées une par une par notre réacteur. Puis la Méditerranée orientale, ouverte et brumeuse, jusqu'aux tours de Tel Aviv.


Le Mont Olympe vu de notre Boeing 757.

Plus sport ensuite : trouver le loueur de voitures, se faire louer la voiture, puis prendre la route alors que le soleil se couchait déjà, de Tel Aviv à Ein Gedi ; contourner Jerusalem puis la descente vers la Mer Morte en traversant la Cisjordanie sur des routes qu'on qualifiera de variables...

Arrivés finalement à l'hôtel, pas moyen de repartir du parking de la réception. Le loueur avait démarré la voiture en utilisant une sorte de code dont il nous avait fort mal expliqué le fonctionnement, et nous n'avions pas coupé le moteur pendant le trajet. Heureusement : en pleine nuit dans le désert du côté de Jericho ça aurait été contrariant.

Aujourd'hui : repos. Enfin, si l'on excepte l'après-midi passée à essayer de réparer à distance le réseau de mon cher employeur.

Le Plume vous salue bien.

09 avril 2011

Au sous-sol des magasins

Passage hier après-midi à la FNAC Montparnasse ; pour acheter un sac photo capable d'accueillir aussi un ordinateur (histoire de limiter le nombre de bagages à main dans l'avion). Et aussi pour autre chose : les Solistes de l'Orchestre de Paris donnaient un mini-concert gratuit au sous-sol, pour faire la promo du label Indésens.


Philippe Berrod dans ses œuvres, FNAC Montparnasse hier après-midi.

On y trouvait notamment l'excellent Philippe Berrod, qui a fait paraître récemment un album-récital et qui officie également, dans un style différent, avec l'ensemble Klezmer Sirba Octet ; également, les jeunes et non moins talentueux Alexandre Gattet (hautbois) et Marc Trénel (basson) qui avec Laurent Wagschal au piano nous ont interprété un réjouissant trio de Poulenc. Comme le disait la petite dame à côté de moi : « on a de la chance, quand même ! »

Autre magasin ce matin : les Galeries Lafayette du boulevard Haussmann, pour acheter une valise d'une taille respectable : demain matin, départ pour une semaine en Israël.

résultat, je suis maintenant titulaire d'une carte de crédit d'un grand magasin parisien. Je me demande si ça peut être considéré comme un signe précurseur de la fin des temps.

Le Plume vous salue bien.

Francis Poulenc, trio pour hautbois, basson et piano (1926), Alexandre Gattet (hautbois), Marc Trénel (basson), CD Indésens 2010.

07 avril 2011

Un vrai scandale

Météorologiquement, ces jours-ci sont un vrai scandale. Il fait beau, et je dois m'échiner à boucler la publication d'un appel d'offre ? Fi donc !


Muséum national d'histoire naturelle, 6 avril 2011.

Au train où ça va, notre arrivée au bord de la mer morte dimanche prochain sera un soulagement : enfin, la fraîcheur...

Le Plume vous salue bien.

06 avril 2011

Histoires d'anches

Les clarinettistes aiment leur instrument, bien entendu. Ils aiment la sensualité du bois, ils apprécient la régularité de la perce, admirent l'ingéniosité du clétage qui vient prolonger leur doigts pour explorer tous les recoins de la gamme. Le bec, ils le choisissent avec soin et l'entretiennent précieusement. Mais les anches, c'est une autre histoire.


Une poignée d'anche sur l'étui de la clarinette.

L'anche (et non pas la (h)anche, par pitié), c'est cette lamelle de roseau que l'on place sur l'ouverture du bec et dont les vibrations produisent le son de l'instrument. C'est dire si elle a une certaine importance... La clarinette et le saxophone ont une anche simple : une seule lame, l'air passant entre cette lame et le bec ; les hautbois, les bassons et leurs familles respectives sont munis d'anches doubles, où l'air soufflé passe entre deux lames de roseaux qui vibrent donc l'une contre l'autre.

Contrairement à l'instrument lui-même, l'anche est une source constante de contrariété, de mauvaise humeur et de récrimination pour le clarinettiste : elle s'abime pour un rien, coup de dent malheureux ou fausse manœuvre avec le couvre-bec ; elle est trop sèche, ou trop humide ; elle n'a jamais la force qu'on souhaite (les anches sont classés par force, de 1 à 4, suivant qu'elles sont plus ou moins flexibles)... Il y a une vidéo d'une répétition où la célèbre clarinettiste Sabine Meyer arrache rageusement l'anche de sa clarinette arrache son anche d'un geste rageur : tout clarinettiste s'exclame : « ah ! elle aussi... ».

Bref : je me suis salement débattu avec mes anches hier soir. À force d'en changer, je vais épuiser les roselières provençales !

Le Plume vous salue bien.

Appareil numérique compact Pentax Optio RZ10.

Johannes Brahms, quintette avec clarinette, op. 115.

04 avril 2011

Une petite fenêtre

En phase de bouclage d'un appel d'offre, donc boulot un peu intense, surtout quand on nous élargit le domaine de la lutte au dernier moment. Du coup, quelques visites de site, ce qui m'a permis de visiter le futur espace de convivialité de la bibliothèque Sainte-Geneviève :

Avantage : l'esthétique du lieu ne sera pas mis à mal par l'installation des distributeurs automatiques qui y sont prévus. Et puis : je ne leur ferais pas le reproche de garder leurs plus beaux espaces pour les salles de lecture.

Le Plume vous salue bien.

Appareil numérique compact Pentax Optio RZ10.

Darius Milhaud, Le bœuf sur le toit, op. 58, « cinéma symphonie sur des airs sud-américains. »

02 avril 2011

Séminarisme

Participation aujourd'hui à un séminaire de recherche en histoire des techniques. Ça faisait longtemps : j'ai mis cette activité en veilleuse pour le moment ; on ne peut pas tout faire. Mais sollicité par mon ancien directeur de maîtrise, je m'y suis remis !


Maquette de vaisseau de 118 canons, musée de la Marine, Paris, mai 2004.

Du coup j'ai retrouvé le premier exposé que j'avais fait pour le même groupe de recherche. C'était le 6 novembre 2004... Mais bon, du coup j'ai enfin trouvé la réponse à une question que mon ancien directeur m'avait posée lors de ma soutenance de M1. Pas un rapide moi.

Le Plume vous salue bien.

Appareil numérique compact Canon Ixus 400.