28 février 2010

Tempête sur les jardinières

On ne parlait plus que de ça : violente tempête sur la France, etc. Tempête il y a eu, avec des dégâts, certes (faudrait que je prenne des nouvelles du bateau, tiens), surtout du fait de l'élévation du niveau de la mer, qui tend à se comporter comme un immense baromètre : plus la pression atmosphérique baisse, plus le niveau monte. Du coup, par exemple, et avec l'aide des grandes marées, le grand rond-point qui forme le principal accès à la ville de Perros-Guirec était totalement sous l'eau : pas malin. Mais côté vent, franchement, pas de quoi déclencher l'état d'urgence...


L'était déjà cassée, cette jardinière.

Ceci dit, des dépressions très creuses, suivant des trajectoires plus ou moins inorthodoxes, il va falloir s'y habituer : on devrait en avoir de plus en plus. Plutôt que de s'arracher les cheveux en regardant les caténaires tomber, il faudrait songer à adapter les infrastructures.

Le Plume vous salue bien.

3 commentaires:

N. Holzschuch a dit…

T'avais pas un bateau, dans le port, toi ?

Le Plume a dit…

celui-là même dont je vais tâcher d'avoir des nouvelles... mais un bateau flottant amarré à un ponton lui même flottant n'est normalement pas menacé par la montée du niveau de l'eau.

N. Holzschuch a dit…

Ouais, mais si j'en crois les photos, un machin avec un grand mat qui dépasse est légèrement sensible au vent...