03 juillet 2010

Allegro commodo

C'est passant quelques minutes sur canapé à écouter de la musique que j'ai réalisé à quel points ces trois derniers mois avaient pesé lourd, en fatigue et en stress. La musique, c'était les sonates pour violoncelle et piano de Fauré, dans l'interprétation légèrement datée de Tortelier et Hubeau : cela convenait parfaitement.


Conservatoire Gabriel Fauré, rue de Pontoise, Paris 5e

Un peu plus tôt ce matin le soleil s'était levé, puis, changeant d'avis, recouché : crépuscule à 8h du matin ; une pluie battante accompagnée, enfin, d'un souffle d'air frais. La promenade au square programmée a donc été remplacée fort opportunément par une grande partie de légos et quelques petits livres...

Sinon, comme je le craignais, le concours de jeudi a fait long feu : un seul candidat classé alors qu'il y avait deux postes... Tant pis. Il m'en reste encore un, mais celui-là, tout le monde disait qu'il serait infructueux avant même que les convocations soient envoyées. Pas sûr que ça mérite de faire consommer de l'essence au scooter pour y aller.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier numérique Pentax K-m

Gabriel Fauré, première sonate pour violoncelle et piano op. 109 (1917) : 3, allegro commodo (Paul Tortelier, violoncelle ; Jean Hubeau, piano, 1962).

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