Le bonne nouvelle du jour : les girafes sont démêlées. Les collègues et moi, nous avions continué à explorer les configurations de nos routeurs pendant le week-end, puisque pour tout simplifier trois établissements étaient concernés l'un d'eux avait tenté une modif', qui ce matin s'est révélée être la bonne. Ouf, je peux passer aux monceaux d'autres dossiers que j'ai sur les bras.
La Sorbonne, côté rue Saint-Jacques, ce matin.
La moins bonne nouvelle c'est que le petit bonhomme a la grippe. Rien de bien grave, mais ça nous a fait une petite nuit, avec bonnes poussées de fièvre et tout ce qui va avec. Du coup, demain, je pouponne, plutôt que de configurer des Cisco : je ne suis pas sûr d'y perdre au change.
Et cependant je découvre les œuvres d'un compositeur contemporain (il est mort en 2000 à l'âge de 50 ans, cette andouille) : Olivier Greif. Une musique riche, complexe sans être ardue, surprenante souvent, terriblment belle en tout cas.
Le Plume vous salue bien.
Boîtier numérique Pentax K-m, objectif SMC Pentax-M 135mm f:3.5.
Olivier Greif, sonate pour deux violoncelles Agincourt, op. 308 (1995).
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