La recherche repart d'un bon pied : après être aller refaire ma carte aux archives nationales vendredi (j'en avais profité pour vérifier quelques références et réserver une place « photo » pour vendredi prochain), j'ai remis les pieds aujourd'hui à la bibliothèque nationale.
Bibliothèque nationale de France, site françois Mitterrand, samedi 8 octobre 2005.
Rien n'a changé : les couloirs et les escaliers sont toujours apocalyptiques ; les salles de lectures plutôt confortables ; et l'accès aux documents raisonablement rapide, surtout si on prend la peine de commander à l'avance. Pas dur : avant de partir de chez moi ou du bureau, je passe commande sur leur site web et, en arrivant, les documents sont là. Pas mal, finalement.
Évidemment, la perfection n'est pas de ce monde : le volume 73 des Transactions of the Newcomen Society (années 2001 et 2002), dont j'avais un besoin pressant, est parti à la reliure pour une durée indéterminée et indéterminable - probablement interminable. Me suis vengé en lisant la traduction française de 1839 d'un manuel de fonderie rédigé en néerlandais et dont une collègue étudiante à Paris 1 m'avait recommandé la lecture. Cette collègue a un sujet de recherche fort intéressant : à peu près le même que le mien, mais transposé à l'autre bout du monde, au Japon, et 50 ans plus tard. Je note d'ailleurs, à mon court regret, qu'elle entend en tirer une thèse, elle.
Le Plume vous salue bien.
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