27 décembre 2008

Ferroviaire

Nous aurions dû partir ces jours-ci ; le voyage a été retardé d'une semaine pour diverses raisons - mais pour autant, ce sera le deuxième voyage en trai du petit bonhomme. Son premier ne lui avait pas déplu ; on va tâcher de rééditer à l'identique malgré quelque quenotte qui semble vouloir pointer le bout de son nez.

Ferroviaire nous serons donc : c'est plus rapide, meilleur pour l'atmosphère, plus sûr... mais pas franchement moins cher en cette période de l'année, pour être honnête. Et la politique de la SNCF en matière d'échanges de billets n'est pas perticulièrement limpide. Mais passons.


Tenseur de caténaire sur la ligne Paris-Bordeaux, pont de Rabion, Angoulême, octobre 2008.

À propos de caténaires : je n'ai aucune, mais alors aucune sympathie à l'égard de gens qui s'attaqueraient aux installations ferroviaires au nom d'idées plus ou moins fumeuses. Que la réponse de l'État soit disproportionnée, c'est possible, mais pas inattendu : le sabotage est considéré comme une action de guerre ; il ne faut pas s'étonner qu'il déclenche une réaction quasi militaire. Mais c'était peut-être le but ?

D'ailleurs : l'histoire de ces quarante dernières années a montré à de nombreuses reprises que l'extrême-gauche violente est le meilleur argument de la droite musclée en rangers à clous... On n'a vraiment pas besoin de ça en ce moment.

C'était notre série : même pendant la trêve des confiseurs, on a le droit de râler.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier Pentax MX, film Ilford HP5+, objectif SMC Pentax-M 200mm f:4 avec doubleur Asahi Pentax T6-2X.

Gabriel Fauré, sonate pour violon n°1 en la majeur op.13, par Arthur Grumiaux (v.) et Paul Crossley (p.).

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