Voilà ; ça va déjà breaucoup mieux - rien de tel que deux jours de repos pour relancer le bonhomme. Du coup, la périodicité de ces notes devraient retourner à son rythme quasi-quotidien ; je vais pas contre essayé de publier mes notes plutôt en milieu de journée pour éviter la tentation de mordre sur un repos nocturne déjà bien entamés par d'autres impératifs.
Dans la pelouse, Angoulême, 12 octobre dernier.
Donc : c'est la relance. Après tout, il y a maintenant un ministre pour ça, ce qui prouve à tout le moins que le ridicule ne tue plus*. Joie des partis majoritaires : pour régler les conflits internes au parti, vous créez des portefeuilles ; ça fait plaisir au ministrisé et ça ne vous coûte pas un rond - au contribuable, si, mais il n'avait qu'à pas voter pour vous, cette andouille-là. Papa s'en fiche bien au reste, car c'est la Grèce qui paiera, disait Offenbach (ou ses librettistes).
Le Plume vous salue bien.
* Je ne suis pas entièrement remis : j'avais écrit qu'un ministre ne tue plus. Espérons que cette affirmation soit fondée elle aussi. Par les temps qui courent, va savoir.
Une note à lire en écoutant : J. Offenbach, « Au cabaret du labyrinthe... » (chanson d'Oreste), la Belle Hélène, acte I, n°3.
Boîtier Pentax MZ-10, film Fuji Pro800Z, objectif Takumar 55mm f:2, Asahi Pentax Extension Set K (bagues 1, 2 et 3), adaptateur Pentax K-M42
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