Je termine naturellement cette série par le bleu de la mer et du ciel. Des serviettes de bain aussi.
Au passage, cette photo est une des rares à avoir survécu de mon seul rouleau au format 120 de l'été : un petit soucis mécanique a faussé le compteur de vues du Yashica, de sorte que toutes les dernières photos que je croyais prendre étaient prises sur rien - enfin, sur le papier protecteur plutôt que sur la pellicule elle-même. Contrariant.
Pour la première fois depuis longtemps, j'ai commencé un roman : Wolf Solent de John Cowper Powys, qui est à en lire les premiers chapitres un roman de folie furieuse verdoyante et bucolique. J'en recauserai. Et puis de la musique : Portishead, Schumann, Poulenc. Schumann et Portishead vont bien avec Powys ; Poulenc, moins.
Le Plume vous salue bien.
Appareil YashicaMat 124G, film Fuji Pro400H (format 120).
2 commentaires:
Je ne sais pas comment tu fais pour ne pas lire (enfin, peu) de romans. D'accord, l'histoire, c'est des fois un vrai roman, mais quand même:)
Pas cool, le coup de la pellicule, on doit être bien déçu en s'en apercevant. D'autant que la photo du jour est super, les couleurs, celle du sable, si caractéristique, le seau, évidemment, et les ombres. Et puis le bleu, quand même, puisque c'est le sujet de la note !
en fait je triche un peu: je ne comptait pas les polars (que je lis assez fréquemment) parmi les romans... sinon, comment je fait: essentiellement, je n'ai pas le temps. Simple, comme méthode!
la péloche: ouais, en plus je suis passé à Neg+ juste avant une réunion à la con sur la grippe A à la crèche. C'est donc pendant une réunion énervante que j'ai déballé mes photos, à commencer par le négatif qui était remarquablement transparent sur presque toute sa longueur. Et c'est encore plus frappant en 6cm de large, puisque c'est du format 120...
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