Paris parfois me semble une ville en suspension, comme le château suspendu de Philémon - suspendu à quoi ? On ne sait pas. À moins qu'il s'agisse de l'une des cités imaginaires aux noms de femmes d'Italo Calvino.
Le pont de la rue de l'Aqueduc, Paris 10e, janvier 2007.
Peut-être tout simplement parce que les changement brutaux d'atmosphère, d'une rue à l'autre, ne font pas vrais. Ou parce que j'ai pris l'habitude de la regarder de biais, cette ville ; de voir plutôt les vides que les pleins.
Le Plume vous salue bien.
Boîtier Pentax MZ-10, film Fuji Superia 200.
2 commentaires:
J'adore la photo ! (quelle lumière...)
(par contre, je te conseille de relire ton premier morceau de phrase, que je n'ai compris qu'en arrivant à la fin de la note;))
on ne va pas se fâcher pour un iota! ;-)
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