23 novembre 2009

Feuilles

Je parlais hier des feuilles qui s'accumulent ; s'accumuler, elle le font bien, notamment au bord des chaussées, pour la plus grande joie des utilisateurs de deux-roues.


Boulevard de Strasbourg, dimanche matin.

Après tout, c'est une excuse traditionnelle des chemins de fers britanniques : train delayed because of leaves on tracks. Pourquoi ça ne s'appliquerait pas aux scooters parisien ? D'autant que si l'on n'y prend pas garde, l'accumulation de feuilles détrempées, ça fait une bonne patinoire à roue arrière. Pas aussi bien que le vieux carton ondulé gorgé d'eau, mais pas loin.

Prudence donc sous le crachin. La semaine ne fait que commencer.

Le Plume vous salue bien.

3 commentaires:

N. Holzschuch a dit…

D'où l'intérêt pour l'amateur de deux roues d'avoir plusieurs montures ; hier, j'ai ressorti le "vieux biclou qui craint pas à gros pneus qui adhèrent", auquel je faisais plus confiance que "la bête de course à pneus fins" pour adhérer sur les feuilles mortes (et, accessoirement, pour lequel ça me chagrinait moins si par hasard il décidait de ne pas adhérer...) Il me reste à finir de préparer "le super-dur à pneus neige" pour être prêt à passer l'hiver...

Le Plume a dit…

Eh: c'est vrai que je suis passé du deux roues sans moteur au deux roues avec à peu près en même temps que tu faisais le contraire...

Le vélo à pneus fins sous la neige, j'ai testé, ça ne marche pas terrible. Vaut mieux éviter le petit plateau, dans tous les cas. J'avais testé aussi le vélo comme moyen de transport de commutateurs ethernet (http://le_plume.20six.fr/le_plume/art/526148/Un-reseau-qui-roule-nbsp-) mais je ne suis pas sûr que ce soit recommandé!

N. Holzschuch a dit…

J'avais fait un ou deux posts sur le sujet, dans le temps :

http://n.holzschuch.free.fr/dotclear/index.php?2007/12/05/35-philosophie-dans-la-neige

http://n.holzschuch.free.fr/dotclear/index.php?2007/12/13/39-ooooooooohh-2

Que le deux-roues soit à moteur ou pas, je recommande l'emploi de pneus spéciaux pour l'hiver (gommes tendres, on va dire).