Après une journée à courir entre trois sites éparpillés dans Paris, à se bagarrer avec différents problèmes d'ingénierie réseau plus ou moins pénibles à résoudre (des access-lists incomplètes sur le Juniper des Grands Moulins, des VRF qui ne font pas ce qu'on veut sur le Cisco de Villemin...), un rituel salvateur : l'arrosage de notre petit jardin suspendu.
Pas franchement suspendu, tout de même - on aurait du mal à accrocher tout ça. Et pas si petit, vu qu'il me faut maintenant six ou sept arrosoirs de six litres pour tout arroser. Un grand laurier et un petit, un romarin hors d'âge, de la menthe, un tout petit rosier, un olivier pas si petit que ça, bananier, buis, okuba, fusain, géranium, palmier nain, cyclamens, fuschia... C'est notre verdure à nous.
Le Plume vous salue bien.
Une note écrite en écoutant : Johannes Brahms, sonate pour deux pianos opus 34b - même disque que les variations d'avant-hier.
[Pentax ME Super, film Fuji Pro 400H, SMC Pentax-M 50mm f:1.7]
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