Avec tout ça, je risque de naviguer peu cette année. Ou alors, il faudrait que je planque le bateau dans les roseaux de l'étang de Saclay, comme celui-ci :
Un croiseur habitable, sans son mât, derrière le Centre d'étude des propulseurs, juin 2007.
D'un autre côté, sans quille relevable, je risque de ne pas aller bien loin... Quant aux régates de dériveurs sur l'étang de Créteil, j'ai pratiqué ça naguère, mais on s'en lasse assez vite...
Vivement j'en aie fini de mon mémoire, tiens ! Histoire de passer à autre chose.
Le Plume vous salue bien.
1 commentaire:
Voui, je ne peux que comprendre, ta dernière phrase...Conclusion : au boulot !
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