Ça faisait longtemps : journée d'étude en histoire des techniques aujourd'hui. Ce qui demandait un petit peu d'organisation aujourd'hui vu que, comme je le disais hier soir, j'étais parent en solo ces jours-ci.
Du coup, je m'étais organisé avec la nounou pour ce matin ; avec l'aller-et-retour express en scooter, ça me permettait d'assister à presque toute la séance matinale. Et l'après midi, je séchais. Sauf que, tant qu'à faire, j'ai profité du beau-temps pour faire une grande promenade, en dirigeant les roues de la poussette vers la rue Malher, histoire d'assister à la clôture de la journée, en revenant avec ma bande.
(J'avoue : c'est surtout parce que je suis fier comme un paon de ce petit bonhomme, et qu'il faut bien que les gens constatent qu'il est vraiment le plus beau des bébés.)
À côté de l'église Saint-Vincent-de-Paul, Paris 10e, 16 mai 2009.*
Sur ces entrefaits, la Madame nous est revenue de Franche-Comté, en ramenant une spécialité locale. Non, pas du fromage : une pendule. Un petit modèle, sinon elle aurait eu du mal à rentrer de la gare de Lyon en scooter. Tic, tac : elle est du même style que la pendule que j'avais fait tomber d'une cheminée quand j'avais dix-huit mois. N'insistons pas, il y en a à qui ça va donner des idées.
Le Plume vous salue bien.
* Pratique, c'est la même légende qu'hier... Le même matériel photo aussi, cf. infra.
Boîtier Pentax K1000, film Fuji Pro400H, objectif SMC Pentax-M 50mm f:1.4.
Camille Saint-Saëns, concerto pour pour violon n°3 en Si mineur, par Itzhak Perlman et l'Orchestre national de Paris dirigé par Daniel Barenboim.