Austin, Texas, donc - ma résidence présente, quoique temporaire. Curieux : quand on est arrivés, en août, les cinq mois que nous devions passer ici, c'était une longue ère nouvelle qui s'ouvrait ; en un clin d'œil, elle est presque terminée. Décembre, c'est presque demain... On commence à peine à s'y retrouver pour de bon !
Downtown Austin vu de Mount Bonnell, fin août.
Austin, ou le Texas autrement : ville de fonctionnaires, d'universitaires, d'artistes - et, de plus en plus, des nouvelles technologies. Résultat : l'une des villes les plus progressistes du pays, au milieu d'un État qui reste nettement conservateur. Ce qui ne veut pas dire que ce soit une ville modèle, mais ça lui donne une ambiance légère et sympa. Par ailleurs, un type d'urbanisme bien loin de ce qu'on connait en Europe (et dans les grandes villes de la côte Est), avec un tissus urbain assez distendu, des alternance de vide et de plein, pas forcément là où on l'attend ; et qui se distend encore : c'est une ville en croissance rapide, dont la population a doublé depuis 1990 pour atteindre le million d'habitants.
C'est aussi (à peu de chose près) la capitale d'État la plus méridionale des États-Unis, hors Hawaï. On me permettra donc de protester vigoureusement contre les températures nocturnes inférieures à 10°C que nous connaissons actuellement. Et même pas 20°C dans l'après-midi ! Un scandale, on vous dit.
Le Plume vous salue bien.
2 commentaires:
Est-ce que vous avez hâte de retrouver Paris ou bien le goût de construire d'autres projets d'expatriation ? ��
Albert commence à trouver le temps long; il est un peu pressé de rentrer. On ne sera pas fâchés non plus de retrouver notre biotope, même si ça fera drôle de laisser Austin... Pas d'autres projets de ce type pour le moment: nos activités respectives nous attendent avec impatience. En même temps, je peux comprendre qu'on soit accro à l'expatriation! et qui sait quelles opportunités se présenteront?
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