Une fois n'est pas coutume : la campagne électorale fait son apparition sur ce blog - son absence en était, je crois, plutôt criante. Mais il ne faut pas trop m'en demander ; après avoir passé la campagne des primaires socialistes à clamer qu'on allait choisir la mauvaise candidate, j'ai un peu du mal à me crever le popotin pour pousser à la roue lorsqu'il s'avère qu'en effet, la candidate ne vaut pas tripette. Bayrou répète à qui veut l'entendre que n'importe quel autre socialiste aurait gagné sans problème : je suis assez prêt à le croire.
Bref, en ce qui concerne la campagne, mon blog en est au même point que les panneaux d'affichage réglementaires vus hier sur la place de la mairie de Combiers :
Ceci dit, ça ne va pas m'empêcher d'être de bureau de vote. J'ai eu l'autre jour un coup de téléphone du camarade trésorier de section : « La présidente de ton bureau de vote est avec moi : elle est très inquiète, elle ne t'a pas vu depuis longtemps, elle se demande si tu habites toujours là... - Te fatigues pas, va, dis lui que c'est d'accord. » Et pouf : dans un petit nuage de fumée rose, quatre dimanches de printemps s'étaient volatilisés en quelques seconde - et c'est du 8h-22h, hein, ça rigole pas. Quatre, vu qu'une fois qu'on aura gagné les présidentielles, faudra gagner les législatives, évidemment.
Ceci dit, ma contribution à la présente campagne va se limiter à ça. De toute façon, la distribution de tracts sur la place de la mairie de Combiers, je ne suis pas certain que ça aurait gagné grand chose. Somme toute, il doit y avoir autant d'habitants domiciliés à mon adresse parisienne que dans toute la commune de Combiers...
Le Plume vous salue bien.
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