J'avais eu l'occasion de le dire dans une entrée au titre pas bien éloigné de celle-ci : je me refuse à trouver a priori laides les centrales nucléaires. Surtout en bord de Loire, avec cette lumière si particulière, qui fait penser à des pêches de vignes un jour d'été...
Saint-Laurent-des-Eaux : la centrale vue d'Avaray (Loir-et-Cher), 8 avril 2007, vers 18h.
Eh : de passage dans les parages, j'ai plus tendance à faire un détour pour ça que pour le château de Chambord - que je connais de toute manière déjà. On ne se refait pas, paraît-il.
Le Plume vous salue bien.
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