C'est l'histoire d'un mec qui, après une après-midi partagée entre rangement et rédaction décide d'aller faire un petit tour de vélo, histoire d'éliminer une partie des Plume Burgers de midi. Je prépare donc mon attirail : tenue réglementaire, chaussures adaptées, bidon d'eau (grand format), nécessaire de réparation (petit format), mes clés et une barre de céréale : tout est prêt.
Tout ? Non : je n'arrive pas à remettre la main sur mon GPS, et j'aime bien l'avoir avec moi. Il se fixe sur le guidon et me sert à la fois de pendule et de compteur de vitesse. Pratique. Quand l'avais-je utilisé pour la dernière fois ? Sans doute en voiture. Il est sans aucun doute resté dans son vide-poche habituel. Un détour à notre parking souterrain s'impose donc : j'ajoute à mon attirail les clés de voiture et, bien entendu, le bip qui donne accès au dit parking. J'attire l'attention du lecteur sur ce point.
Les tuyaux, c'est mieux vu de l'extérieur : terrasse des Grands Moulins, la semaine dernière.
Arrivé sur place (la descente, en vélo, c'est pas compliqué), je retrouve sans problème le GPS là où je pensais qu'il était, le récupère, l'installe et m'apprête à repartir. Ce faisant, un truc non identifié m'échappe des mains ; me retournant pour le récupérer, je donne un coup de pied dedans et ne peux que voir le bip du parking se diriger à grande vitesse vers une évacuation d'eau dont la grille manque depuis des années...
La demi-heure suivante s'est passé à plat ventre sur le sol à essayer de le récupérer, le tuyau faisant fort opportunément le diamètre de mon bras. Mon butin : deux ou trois paquets de Marlboro avec mégots assortis et un sachet d'huile pour pizza. De bip, point.
Après ça, il ne me restait plus qu'à profiter d'un (rare) passage de voiture pour sortir du parking et rentrer à la maison. Et prendre un bain.
Bilan de la journée : j'ai presque été faire une promenade à vélo.
Le Plume vous salue bien.
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