Nouvel an, nouveau millésime : tous les ans, ce millésime semble un peu plus absurde : 2009 ? Mais non, voyons, ça n'est pas possible ! On s'était à peine habitué à 2008... C'est la saison des ratures sur les chèques, ou sur tout autre papier que l'on date à la main.
2008 s'achève, et la fin du monde n'a pas eu lieu. Même l'élection de Sarkozy n'y a pas suffi - ses lendemains ont tout juste eu l'amertume d'une triste comédie. Il faut s'y faire, on en a pris pour cinq ans.
À vrai dire, j'ai tendance à m'isoler des actualités, absorbé que je suis par le seul bilan qui m'importe de l'année écoulée : ce merveilleux petit bonhomme qui a découvert depuis mercredi les joies de la purée de haricots verts !
Angoulême : la gare et le faisceau marchandises, octobre 2008.
Nous partons d'ailleurs quelques jours, partager ce bonheur-là avec ses grands-parents. Compte tenu des difficultés de connexion que j'éprouve en général lors de mes visites à Angoulême, il est possible que ce weblog reste silencieux jusqu'à dimanche prochain. Je suis sûr que vous saurez rester digne dans cette adversité.
Le Plume vous salue bien.
P.S. : lecture de Moby Dick terminée. Je vous en recauserai en rentrant.
Une cantate du premier janvier : J.-S. Bach, Jesu, nun sei gepreiset, BWV41, avec son ouverture spectaculaire aux cuivres triomphants.
Boîtier Pentax MZ-10, film Fuji Pro800Z, objectif SMC Pentax-M 50mm f:1.4, filtre Hoya Linear Polarizer 49mm.
1 commentaire:
Et nous restâmes dignes dans cette adversité... ;-)
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