Lundi-turbin, ou plutôt lundi-moulins. Business as usual.
Les Grands moulins vus du quai d'en face, décembre 2007.
En guise de réconfort, pizzicati à volonté : je déguste le quatuor à corde de Debussy, dont le deuxième mouvement contient une forte proportion de cordes pincées.
Plus ou moins par hasard, je me retrouve ces derniers temps avec des quatuors à cordes multiples et variés, du XXe siècle essentiellement. Où l'on voit qu'avec un vieil outil (la formation n'a pas changé depuis Haydn, deux violon, un alto et un violoncelle) on peut faire du neuf : Debussy puis Ravel en France ; plus à l'est, Hindemith et Bartók ; et bien plus tard, les quatuors de Philip Glass : toutes choses aussi dissemblables que possible. Ce qui n'empêche pas de les apprécier tous. Au contraire.
Le Plume vous salue bien.
Boîtier Pentax MX, film Fuji Superia 200, objectif 135mm f:3.5.
Claude Debussy, quatuor à cordes en sol mineur op. 10 (1893), 2 : assez vif et bien rythmé. Quatuor Ébène, CD Ravel, Debussy, Fauré : quatuors à cordes, Virgin Classic, 2008.
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