C'est toujours l'août ; le quinze, même. Du bateau, du jardinage, de la clarinette, des cousins, des promenades, et un adorable petit bout de chou qui devient chaque jour d'avantage un grand.
Cale de Nantouar, Louannec (Côtes d'Armor), 14 août 2011.
En cas de mauvais temps (pas le cas aujourd'hui), légos pour certains et lecture pour d'autre. Hasard des rayonnages, deux romans lus coup sur coup un jour pluvieux, la semaine dernière. Le premier :
Il vivait avec ses deux filles dans une maison qui avait un jardin qui donnait sur la Bièvre.
Et le second :
A la sortie de l'école, les fins d'après midi où nous n'avions pas de devoirs, nous allions en bande à l'autre bout du village, plus loin que le château et la gare, jusqu'au grand moulin à eau, en bordure de la Bièvre.
C'est bien la peine de fuir la région parisienne : la Bièvre, affluent de rive Gauche de la Seine, passe précisément en dessous de mon lieu de travail. Même en période de fermeture.
Le Plume vous salue bien.
P.S. : cadeaux-primes pour ceux qui trouveront les titres des deux romans concernés.
2 commentaires:
tous les matins du monde pour le premier extrait ? le second je ne vois pas .. on peut savoir maintenant ? ;)
gagné pour le premier; le second: Patrick Modiano, "remise de peine". Pas d'unité de temps ni d'action, mais une surprenante unité de lieu!
Merci de me rappeler à ce weblog que j'avais quelque peu déserté ces temps-ci...
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