21 décembre 2007

En cale sèche

Le porte-avion Charles de Gaulle est en cale sèche pour quelques temps, disent les journaux. Moi, c'est pareil : je suis dès ce soir hors de service, et ce jusqu'au 2 janvier 2008. C'est qu'il a été rude, ce semestre !


Un bateau au radoub le long du quai de Bercy, 17 novembre 2007.

Les habitués de ce weblog auront peut-être reconnu la scène (ainsi que la Seine, mais ça il n'y a pas de mérite) : elle avait en effet figuré ici sous un angle différent il y a quelques semaines, en illustration d'un texte de Cendrars. Un angle différent et des couleurs différentes : la pellicule employée était bien différente, quoi que de même marque. Un des multiples paramètres qui font les joies de la photographie « argentique »...

Depuis quelques années, je suis fidèle client des pellicules Fuji. J'en utilise pour l'instant trois types : la Reala 100, pellicule au grain fin appropriée aux fortes lumières ; la Superia 200 - la plus vendue, avec sa sœur Superia Xtra 400 - au couleurs très saturées ; la Pro400H, pellicule plus sensible (donc idéale en faibles lumières) et au couleurs plus neutres. cela couvre la totalité de mes besoins en pellicules couleur au format 135, même si j'ai bien envie de faire quelques pellicules de Velvia, un film inversible (pour diapos) au grain extra-fin et réputée pour ses couleurs. S'ajoutent à cela les pellicules 120 pour le 6&time;6 : j'ai utilisé pour l'instant du Ilford (HP5+ et FP4+) mais je vais tenté la Fuji Neopan, qu'on m'a dite plus contrastée.

J'avoue : j'aime bien cette profusion de choix. Si je voulais absolument « avoir un style », je suppose que je devrais choisir une pellicule et m'y tenir, mais ce serait moins rigolo.

Le Plume vous salue bien.

[boîtier Pentax ME Super, film Fuji Reala 100, objectif SMC Pentax-M 50mm f:1.4]

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