C'est peut-être une manière de se retirer dans ma tour d'ivoire ; en tout cas, quand je ne fais pas de l'histoire - ni le boulot pour lequel je suis payé, tout de même - je poursuis mon exploration de la musique dite classique.
Pensée profonde du jour : le concerto pour Piano n°2 de Brahms me fait penser à la peinture de Kandinsky. Si ça c'est pas un blog de haute tenue intellectuelle, ça, madame ?
De grosses notes sur une vaste portée : après les moissons, Hautefaye (Dordogne), juillet 2006.
Autre découverte fondamentale : la Fantaisie pour piano et violon en do majeur, de Schubert, c'est nettement plus guilleret que les Lieder du Winterreise, par le même, écrits en 1827 aussi. Avec des réflexions d'une telle profondeur, je vais finir docteur en musicologie, c'est sûr.
Le Plume vous salue bien.
5 commentaires:
essaie donc les concertos pour piano de St Saens! top!
Moi je carbure aux sonates pour piano et violoncelle (Rostropovitch...) de Brahms et la Flûte enchantée. On va voir si ça influe sur ma prose concernant la petite fille de Guizot, ce qui serait plutôt pas mal !
merci pour les conseils, je note tout ça! Je suis plutôt sur la musique de chambre en ce moment, donc l'idée des sonates de Brahms m'inspire bien. Mais ceci dit, j'ai été élevé au Saint-Saens, ça me ferait plaisir de le retrouver!
Très bien Brahms. De quel tableau parles-tu ?
Pas forcément d'un tableau particulier... disons, certaines des toiles très dynamiques des années 1910 à 1915.
Il va falloir que j'y réfléchisse!
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