01 juillet 2009

Power walk

Une des différences entre quand tu as un môme et quand tu n'en a pas, c'est que quand tu n'en a pas tu crois que tu es à la bourre le matin. Quand tu en as, non seulement tu en es vraiment à la bourre mais en plus tu ne peux pas te presser : si la couche est pleine, il faut la changer, rendez-vous urgent ou pas.

Et du coup, le trajet pour monter à la crèche est souvent plus de l'ordre du power walk que de la promenade tranquille. Mais pas trop : le but c'est d'avoir un joli sourire quand la poussette s'arrête devant la porte.


La porte de la crèche, 19 juin dernier.

Aujourd'hui je n'ai eu qu'une semi-risette à la descente de de la poussette, et un petit pleur au moment de laisser le jeune homme aux bons soins des puéricultrices - ce qui n'était pratiquement jamais arrivé. J'aurais dû me presser moins.

(Hier matin, truc marrant, au moment où je repartais : la section des grands avait trouvé le truc pour balancer les petits jouets par la fenêtre, et du coup les légumes en plastiques et autres jeux de construction volaient gaiement dans la rue, pour le plus grand étonnement d'un agent de la propreté de Paris qui passait par là.)

Le Plume vous salue bien.

Boîtier Pentax ME Super, film Fuji Pro160S, objectif SMC Pentax-M 50mm f:1.4.

Les aventures de Babar le petit éléphant, texte de Jean de Brunhoff avec accompagnement musical composé par Francis Poulenc.

4 commentaires:

Madame Plume a dit…

Quand à la power nap et le beauty sleep... just forget about it!

Le Plume a dit…

pas la peine: il s'en charge!

(quand il veut)

Flivo a dit…

Sourire. Ce soir le changeur de couches est parti boire des bières et le vieux renard est de garde.

Le Plume a dit…

eh! j'espère que vieux renard et renardeau bénéficiez de la célèbre douceur angevine, au moins.