Récupéré ce matin la dernière pellicule prise avec le Pentax Auto 110 - appareil reflex miniature à objectif interchangeable, un tout petit qui marche comme les grands. En toute rigueur, ce n'est pas tout à fait un retour, puisque ce rouleau est le premier réalisé avec un autre Auto 110 que les précédentes, ùmais ne pinaillons pas : celui-ci est rigoureusement identique à son prédécesseur, mais en peilleurs état.
Les esprits chagrins me feront remarquer que les photos prises avec un bon 24×36 sont bien plus précises. Et ils auront raison, ce qui explique d'ailleurs que je fasse principalement du 24×36. Mais les photos au format 110, elles ont du ca-ra-ctère, ah, mais. Noter par ailleurs que l'image sur la pellicule déborde le cadre pré-imprimé (une des bizareries du format 110), raison pour laquelle je scanne toujours ces négs plus large que l'image standard. D'où l'effet de bord de cadre, variable suivant le fabricant de la pellicule. Ici, c'est Fuji ; chez Ferrania, ça donne du jaune en inversé, et chez Kodak, du vert. Moi je trouve ça rigolo.
Quant au rhabillage de la tour centrale, il a dû bien progresser depuis, mais je n'en sais rien : j'y suis passé aujourd'hui mais suis allé directement dans un obscur sous-sol, sans passer pr la case départ.
À propos de départ, je vous parlais dimanche dernier de la possibilité pour le vainqueur de l'étape cycliste du jour d'échouer à un examen d'urine ; apparemment, c'est fait. Ricardo Ricco aura poussé un peu trop loin l'imitation de son idole, Marco Pantani, un grand nom de l'histoire de la topette. Bah, ça fait de l'animation, tout ça!
Le Plume vous salue bien.
Une note à lire en écoutant : Erik Satie, Croquis et agaceries d'un gros bonhomme en bois.
[boîtier Pentax Auto 110, pellicule Fuji Superia 200 (format 110), objectif 70mm f:2.8]
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