Du boulot, du froid et pas beaucoup de sommeil : un hiver à Paris.
Des petits bonheurs aussi : « Papa, cette chanson, je connais pas l'air, je connais que la mélodie ! »
À propos de mélodie, mes progrès à la clarinette sont d'une lenteur désespérante, mais tant pis, on n'est pas pressé. J'avais massacré Bach tout l'automne ; maintenant je m'attaque à Mozart. Je ne sais pas s'il s'en remettra.
Le Plume vous salue bien.
W.-A. Mozart, Le Nozze di Figaro K. 492, acte I, sc. 2, n°3 : Figaro, « Si vuol ballare »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire