Puisque mes dernières entrées récentes nous ont emmenées vers des ilôts de calme dans une mer d'agitation, il y a une logique à enchaîner avec la plus grande de ces îles : le Père Lachaise. Et surtout, j'en ai sur le rouleau développé la semaine dernière une photo dont je ne suis pas mécontent :
Cimetière du Père Lachaise, 19 mars 2005.
Je le disais je crois dans ma première entrée à propos de ce lieu : je ne le trouve pas morbide, le Père Lachaise. Parisien, sans aucun doute : un peu décalé, parfois prétentieux, souvent positivement marrant. La rue circulaire, c'est une rue parisienne, avec ses façades bien allignées et contraintes de s'élever faute de place pour s'étaler. Et, partout, un soucis de se distinguer, de déparer, de dire son fait. Et le temps passe, une histoire au long cours...
Les arbres par contre sont plus nombreux - et bien plus vifs - qu'ils ne sont au dehors.
Le Plume vous salue bien.
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