Comme tous les ans depuis que la manifestation existe, à l'occasion des journées du patrimoine, je ne suis pas sorti de chez moi. D'une part, parce que la multiplication des fêtes du truc et des journées du machin m'agace (à quand la journée du camembert laitier fait à cœur ? Prévenez-moi, que je colmate les fenêtres), d'autre part parce que l'usage à toutes les sauces du mot patrimoine m'enquiquine, et de troisième part parce que j'avais la flemme. Vous soupçonnerez sans doute que le troisième raison est la seule authentique, et vous n'aurez pas tort.
Ceci dit, je retrouve sur mon disque dur, sans avoir à faire la queue une seule minute, une photo sympa d'un petit bout de patrimoine (comme on dit).
Candes vu de la rive droite de la Loire, 25 août 2006, 18h30.
De Candes, je vous avais montré le porche, la chapelle Saint-Martin ainsi que les environs immédiats - avec celle-ci, la boucle est bouclée. Il n'est par ailleurs pas impossible que le banc de sable que l'on voit sur le devant soit l'extrême pointe du confluent de la Vienne et de la Loire. J'avais été m'y promener quand j'étais gamin, et ça ressemblait justement à ça. Ceci dit, ça peut être un bête banc de sable, aussi.
Le Plume vous salue bien.
1 commentaire:
Bah, moi, patrimoine ou pas, j'aime bien profiter des choses ouvertes qui ne le sont pas habituellement...mais il y a effectivement souvent trop de monde. résulat, j'ai dû me rabattre sur la BnF...J'aurai dû carrement aller au ciné, tiens, ou rester chez moi. mais bon, ça m'a fait passer le temps...(et puis, j'ai pas tout perdu, j'ai tenté les fameux sièges et écouté un phonographe, ça, c'était nouveau et intéressant pour moi. (Oui, bon, d'accord, il faut aussi dire que les mecs qui le présentaient étaient carrement mignons, contrairement aux autres guides de la visite. hem. J'assume.))
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