Mrs Dalloway, c'est ce roman d'un jour où, pendant que les restes de l'Angleterre victorienne se délitent à grande vitesse, une riche londonienne s'occupe de la grande affaire du moment : sa grande soirée mondaine. Je ne suis ni riche, ni londonienne, mais malgré tout, hier soir, on recevait. Et comme on avait pas mal de monde (genre : la capacité maximale de notre surface habitable) et que d'autre part on ne fait pas venir les gens pour qu'ils regardent trois cacahouètes rances se battre en duel dans un saladier en plastique, ça représentait un peu de boulot, question organisation.
Vue sur les desserts avec les entrées en arrière-plan.
Aujourd'hui, retour au calme ; retour des meubles à leur place habituelle ; évacuation des cadavres champenois ; et retour à mes pages d'écriture. Un tout petit peu tout petit pe-tit peu...
Un mini-tiramisu pour la route ?
Le Plume vous salue bien.
P.S. spécial copinage : si un jour vous cherchez un traiteur sympa, inventif et super bon : Les doigts à la bouche, marché Saint-Martin, 31 rue du Château d'eau, Paris 10e. Miam.
5 commentaires:
Ah oui, tiens, encore un bouquin que je voudrais lire, à l'occasion. Impressionant, le buffet, sinon !
(c'est quoi, la citation "un petit peu"? ça me fait penser à une chanson, mais je ne pense pas que ce soit cela)
vui: ce n'est pas parce que c'est un classique que c'est pas un bon bouquin! ;-)
Sinon, oui, c'est bien Bobby Lapointe que j'avais en tête. Il n'y en a pas que Virginia Woolf.
et si vous cherchez un nouveau et top restau italien: la "Trattoria dell'anima", metro Oberkampf...(recommandé par le meilleur ami de celui qui le tient, un italien d'origine indienne)
por le coup, ça a pas du tout une tete de cacahuetes rances!
ouais, zont eu l'air d'aimer, les américanistes!
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