Réflexion de lendemain de noël : la peste doit des fabricants de jouets qui font des machins électroniques qui hurlent, et sur lesquels il n'y a pas moyen de baisser leur son. Je leur souhaite de passer l'éternité dans une petite pièce avec leur production qui hurle à tue-tête.
Opération à cœur ouvert sur ma table de travail hier après-midi.
J'avais ouvert la bestiole (un Thomas the Tank Engine télécommandé) à la recherche d'une résistance variable cachée dans un coin qui aurait pu permettre de baisser le volume, mais il n'y a pas. J'envisageais d'en ajouter un, mais auparavant j'ai testé la suggestion de la Madame (un bon coup de gaffer's tape à la sortie du haut-parleur afin qu'il parle moins haut) et ça calme le jeu en effet. Du coup, je ne vais pas m'embêter à aller acheter un potentiomètre.
Sinon, le rhume qu'avait le petit à Angoulême, je l'ai récupéré. Il a pas dû s'amuser, le petit bouchon : j'ai l'impression d'avoir une troupe de buffles qui cavale sous mon crâne.
Le Plume vous salue bien.
Boîtier Pentax K-M, objectif SMC Pentax-DA L 18-55mm f:3.5-5.6 AL
Musique obligatoire : générique de Thomas the Tank Engine and his Friends. C'est le générique de la version anglaise ; c'est clairement à celle là qu'on a droit !
2 commentaires:
Une troupe de buffles sous le crane. Et c'est le rhume que tu accuses ?
A herd of buffalos sweeping through the African plain... Hmm. J'aurais peut-être dû faire le vodka-campari un peu plus léger.
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