Deux semaines pratiquement sans message : c'est que la vie parisienne ne m'a pas relâché depuis, tant et si bien que j'ai gardé par devers moi l'image de campagne charentaise que j'avais prévue pour mon retour.
Première info, le printemps est arrivé pour de vrai. Du coup le soleil rentre dans les chambres et vient frappé les petits morceaux de beautés qui s'y trouvent. Sachant que par extension tout objet qui me fait penser à mon petit bonhomme rentre dans cette catégorie, surtout quand il est déjà parti à l'école.
Sinon, la saison électorale bat son plein. Sur la scène nationale bien entendu, mais aussi plus modestement dans mon université. Étant candidat pour représenter le personnel au conseil scientifique (mandat remarquablement peu influent il faut bien le dire), je me démène, tracte et tâche de convaincre les collègues de voter pour nous. Compte tenu de ma position sur la liste, mon élection est rien moins que certaine, d'ailleurs. Si c'est pas malheureux ça.
Dès que ce sera fini (mardi) je me replonge dans la campagne nationale. Ça va pas être le moment de s'économiser...
Le Plume vous salue bien.
Astor Piazzola, « Milonga del Angel », album Tango: Zero Hour, 1986.