Je parlais l'autre jour notre point d'attache sur la côte ligure ; c'est de Rapallo qu'il s'agissait. Question charme sauvage, évidemment, on fait mieux : l'ancienne petite station chic est un monument à la spéculation immobilière des années 60 et 70. Mais bon, d'abord, c'est là que nous avions des obligations qui avaient fourni l'alibi de tout ce voyage. Et l'urbanisation n'empêche pas le golfe, la lumière, les couleurs...
Une "plage" privée dans le centre de Rapallo, mercredi 6 juillet 2005.
En plus, pour moi qui suis plutôt habitué à des plages de cinq kilomètres de large et deux de long (à marée basse, s'entend ; à marée haute, compter plutôt deux mètres) avec du granit comme seul décor, ce front de mer est passablement exotique. Et n'allez pas chercher une quelquonque ironie là-dedans.
Le Plume vous salue bien.
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