Voilà : après des semaines à me traîner minable, je suis maintenant officiellement autorisé à en faire autant sans même me déplacer sur mon lieu de travail. Les vacances...
Côtes d'armor, juillet 2003.
Marrant que pour désigner le fait d'arrêter temporairement de travailler, le français évoque non pas les activités que l'on peut avoir pendant ce temps mais le vide laissé par le salarié : une vacance. Pour ma part, vu mon peu d'efficacité ces derniers temps, ce vide ne fera pas s'effondrer l'univers, je pense. Bah !
Le programme : jusqu'à lundi, rien - dormir. Et lundi, je monte dans la twingomobile et je file vers les cols alpins, histoire d'aller attendre la madame à sa descente d'avion en Italie. bah oui, elle est bloquée à Paris jusqu'à mardi et doit être là-bas mercredi. Après ça, bein, on sais pas trop... On aura nos quatre roues, un guide d'Italie du nord (qu'il faut que j'aille acheter demain d'ailleurs) et tout notre temps.
Conséquence : le blogage risque d'être passablement irrégulier la semaine prochaine. On verra ce qu'on peut faire, mais on ne fera pas des kilomètres exprès pour aller à la recherche d'un cyber-café. Je tâcherai de vous tenir au courant !
Le Plume vous salue bien.
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