08 juin 2008

Livresque

Quand on déménage sa bibliothèque, je me demande ce qui est le plus contrariant : déplacer des livres qu'on ne relira sans doute jamais, ou se rendre compte qu'on a des quantités de livres que l'on n'a pas lu ?


Le champ de bataille, en fin de matinée (contenu de deux des six étagères déplacées).

Avec un peu de chance, les courbartures seront telles demain matin que je devrai rester au lit. Ce qui me donnerait l'occasion de diminuer la proportion des livres que je n'ai pas encore lu.

Le Plume vous salue bien.

Aucun commentaire: