Il paraît que ce qui fait un ingénieur, c'est la capacité à se poser les bonnes questions. Et là, je m'interroge.
En gros : on m'a fixé un certain nombre de priorités pour les mois qui viennent, qui ne sont pas déraisonnables en soit - sauf que, l'université devant subir une réorganisation importante de ses services au mois de février, il va y avoir y avoir un raz-de-marée d'urgences qui vont nous débouler sur la tête : a-t-on vraiment envie d'être en plein dans l'exécution de gros projets au moment où ça va nous tomber dessus ?
Flou artistique sur câblage obsolète, vendredi dernier.
Sinon, tout va bien. Je me dope au concerto pour violon de Sibelius et à la sonate pour alto seul de Hindemith : je pense que c'est légal, du moment qu'on n'est pas sportif de haut niveau. J'essaye de comprendre le travail de mes prédécesseurs immédiats, ce qui n'est pas forcément évident, en tout cas quand on se refuse à faire table rase du passé ; je suis même parfois perplexe sur les choix du prédécesseur de mes prédécesseurs, alors que c'était moi (mais il y a huit ans). Il va donc encore falloir que je m'interroge !
Le Plume vous salue bien.
Jean Sibelius, concerto pour violon en ré mineur op. 47, 3 : allegro ma non tanto.
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