08 novembre 2010

Lectures, lectures

Un signe que mon changement de boulot me réussit : moi qui n'avais guère lu ces derniers temps que des polars en n-ième lecture, j'ai dévoré en huit jour deux romans (et quelques pages du suivant) et un essai. La forme revient.


Démon dansant sur nos rayonnages, 23 octobre 2010.

Les victimes de cette fringale :

  • Jørn Riel, Heq (Le Chant pour celui qui désire vivre, t. 1), Gaïa, Paris, 1995 (Lindhardt og Ringhof, Copenhague, 1983) ;
  • Julio Llamazares, La pluie jaune, Verdier, Paris, 1988 (Seix Barral, Barcelone, 1985) ;
  • Paul Veyne, Quand notre monde est devenu chrétien (312-394), Albin Michel, Paris, 2007.

À quoi il faut ajouter Henry Bauchau, Œdipe sur la route, tout juste commencé. Je n'aime pas beaucoup parler des romans que j'ai lu ; c'est un sport pour lequel je ne suis vraiment pas doué. Je vous dirais quelques mots du Paul Veyne un de ces jours - très intéressant, très nuancé, comme Veyne sait l'être. On apprend au détour d'un bouquin consacré à la conversion de l'empereur Constantin qu'Emmanuel Leroy-Ladurie était secrétaire d'une cellule du PCF en 1952. Tout ça pour finir académicien, quelle triste chose.

Le Plume vous salue bien.

Appareil numérique compact Olympus μ Tough 8010

Aucun commentaire: