29 juillet 2006

Vélocipède

Quoi de plus urgent, la veille du départ, que de régler les derailleurs d'un vélo qui va rester ici ? Rien, bien sûr. Et pour ce faire, je suis allé faire une acquisition que j'avais en vue depuis un temps certain : un pied d'atelier, permettant d'immobiliser l'engin dans une position compatible avec le travail.

Du coup, virée en scooter jusqu'à la porte de Montreuil (à Répu, il n'y en avait plus) et retour avec l'outil susdit. De fait, beaucoup plus facile de faire des réglages un peu précis quand le vélo n'est pas en équilibre précaire sur sa selle et son guidon.


La monture, comme à la parade.

Et demain, en route, sauf imprévu de dernière minute. Sur quatre roues cette fois, pour aller retrouver ce cher crachin breton. Et le bateau, bien sûr.

Le Plume vous salue bien.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Z'veux pas y aller, z'veux pas y aller, z'veux pas y aller... argggh humph (cri étouffé quand Monsieur Plume a mis le baillon). Mmmhumph, mmmhumph...

Le Plume a dit…

Voilà, c'est beaucoup mieux comme ça! :-P

daieuxetdailleurs a dit…

Pourtant c'est tellement sympathique un vélo sur sa selle... qui tombe 3 fois pendant qu'on le bichonne... fait la moue du guidon et boude.

Pour ma part, 4 heures de pédalage le long de la Sèvre Nantaise. Et les gros nuages gris ont enfin craqué. Grosse pluie d'automne. Mais visiblement pas dans l'Ouest...

Bon séjour breton ;)

Anonyme a dit…

mais ya pas de crachin, t'as vu ça où?