19 décembre 2008

Call me Ishmael.

Il fallait bien que ça arrive : je viens de me plonger dans un roman en anglais de 135 chapitres, plus un épilogue et quelques ajouts. Il n'y en a pas tant que ça : il s'agit bien évidemment de Moby Dick d'Hermann Melville, un de ces livres dont on parle plus qu'on ne le lit. J'avais essayé de me lancer là-dedans quand j'étais gamin ; je n'étais pas allé au delà de l'arrivée à Nantucket, je crois. Je recommence donc cette entreprise ; contrairement à Treasure Island de Stevenson, ça ne se lit pas en deux jours.


Une baleine à bosse du côté du cap Cod, pas bien loin de l'île de Nantucket toutes choses égales par ailleurs.

Il faut dire que, suite à mes petites mésaventures d'hier, j'avais pris le métro aujourd'hui. La ligne 4 vers 19h le vendredi d'avant noël avec un trafic perturbé, ça vous met en phase avec l'envie d'espaces marins que décrit le narrateur dans le chapitre 1.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier Pentax MZ-10, film Kodak Gold 200, Zoom SMC Pentax-F 100-300mm 1:4.5-5.6.

J.-S. Bach, cantate BWV 6 Bleib Bei Uns (ensemble baroque de Limoges dirrigé par Christophe Coin).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Waaaw, c'est trop bien Moby Dick. Voilà des vacances de Noel qu'elles vont être bonnes !

Le Plume a dit…

en tout cas, c'est complètement siphoné dès les premiers chapitres. J'ai bien fait de m'y remettre.

A pretty pickle, truly, thought I; abed here in a strange house in the broad day, with a cannibal and a tomahawk!