J'aime voir la manière dont la végétation parvient à repousser dans les interstices de la ville. Pas les parcs et jardins, non : les bouts de terrain vague, les fissures du macadam, les recoins de muraille...
Finalement c'est sur le même mode que la pensée, ou la méditation, ou le rêve éveillé, parviennent à se glisser dans nos journées d'homo sapiens urbains du XXIe siècle.
Le Plume vous salue bien.
Boîtier Pentax K1000, film Fuji Pro400H, objectif SMC Pentax-M 50mm f:1.4.
David McWilliams, The Days of Pearly Spencer.
2 commentaires:
tu nous fais une crise de Marcolvaldo, en somme?
eh: vu la place qu'a tenu Calvino dans mes lectures de jeunesses (pas dans le texte, je dois l'avouer), c'est pas entièrement étonnant...
ceci dit s'il devait y avoir un modèle pour ce blog, ce serait sans doute plus Palomar que Marcovaldo.
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