Et voilà - c'était couru, alors que j'arrive au bout de mes peines, je perds la boule. Et je me prends pour Yves Montand au chevet de Louis de Funès...
Ce que je veux dire, c'est qu'il arrive un moment où c'est l'heure, où il faut poser le crayon et rendre sa copie. Et tant pis si le résultat n'est qu'un pâle reflet des mois que l'on a passés dans les bibliothèque, les dépôts d'archive, voire sur les sentes plus ou moins escarpées de la recherche de terrain. On aurait eu beaucoup plus à dire - et on a l'impression de n'avoir rien dit. Surtout si on a fait la moitié de la rédaction en dix jours, hein, on peut pas dire que ça aide...
Porche de l'ancienne École centrale, rue Conté, Paris 3e, 26 août dernier. 16h.
En même temps, avoir un délai à respecter est sans doute la seule manière de se contraindre à l'exercice ingrat de la rédaction. On a des idées qui s'interconnectent dans tous les sens, et tout ce qu'on peut faire c'est une longue ligne d'écriture. C'est pas folichon, la ligne, comme mise en forme. Et d'un autre côté, si on veut être lu, il faut écrire !
Le Plume vous salue bien.
[Boîtier Pentax ME Super, film Fuji Superia 200, objectif Tamron 135mm f/2,8]
2 commentaires:
il est un peu mussolinien, le zozo, avec son bouclier ou quoi? nous on a des voisins bien sympas, même que...
c'est une zozotte, je crois, allégorie centrale du monument au qui orne le porche... c'est sûr, c'est pas du subtil!
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