Nous voilà bien : je lis du Stendhal en écoutant Schumann. Serais-je frappé de cuistrerie au dernier stade ? Moi qui me disais fermé au roman, si ce n'est un bon polar, et aussi peu schumannien que possible.
Mais d'un autre côté, ces bouquins sont à notre disposition, cette musique aussi, pourquoi s'en priver ? Et puis de Stendhal j'aime la cruauté : la narration et les personnage ne sont que les prétextes à la composition, et tant pis pour le lecteur. De la prose avec des épines...
Square Villemin, 5 septembre 2010.
Et puis, avec mes histoires de crèches voyageuses, je retrouve des trajets en métro ; il faut bien que j'ai quelque chose à lire !
Le Plume vous salue bien.
Boîtier numérique Pentax K-m, objectif SMC Pentax-M 135mm f:3.5.
Robert Schumann, Trois Phantasiestücke pour clarinette et piano, op. 73.
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