13 septembre 2010

Qu'il pleuve ou qu'il vente...

Ayant vu la photo de l'olivier domestique que j'avais prise samedi, une lectrice attentive qui connait fort bien ledit végétal m'a fait remarquer que j'avais en stock de jolies photos de l'olivier baigné non par le soleil francilien mais par une pluie battante. Et elle avait raison, bien entendu.


L'olivier sous un juillet pluvieux, 3 juillet 2010.

Je parlais hier de musique minimaliste ; le terme n'est pas très bon mais il est commode. J'aime mieux que laquo;musqieu répétitive », même si la répétition d'un motif est l'un des principaux outils qu'utilise cette musique pour jouer avec le cours du temps. Laissons tomber les définitions ; mieux vaut écouter. J'avais parlé de Steve Reich hier ; cependant, le grand nom de cette musique, ça reste Philip Glass. Son premier opéra/ballet, Einstein on the Beach, dans les années 70, avait amené en pleine lumière cette musique jusque là plutôt confidentielle. Voilà. Il n'y a qu'à écouter.

Le Plume vous salue bien.

Philip Glass, Einstein on the Beach, acte 3, scène 1 : « In a prematurely air-conditioned supermarket ». Deux morceaux en un, en fait, avec une introduction instrumentale suivie (à 2'22) d'une partie vocale, se concluant par un retour à des éléments de scènes antérieures (10'45).

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