03 mars 2009

Saint-Sulpice et les dentistes

Pour commencer : hier soir, jusqu'à tard, j'étais occupé d'un côté à préparer une intervention réseau pour aujourd'hui, en causant de la chose avec mon chef par messagerie instantanée ; d'autre part, à donner des indications bibliographiques concernant l'encyclopédie de Diderot et d'Alembert. Résultat, j'ai complètement oublié de blogguer. Un vrai scandale n'est-il pas ?

Aujourd'hui, donc : si vous contournez l'église Saint-Sulpice, à l'opposé de ses tours monumentales, vous trouverez sur la rue garancière un immeuble pas bien joli : l'UFR d'odontologie de l'université Paris-Diderot. J'y ai passé une bonne partie de la journée, avec un collègue - perché sur une échelle que contournaient les étudiants-dentistes, tous munis d'une blouse blanche et d'une petite boîte à ouvrage.

Évidemment, moi, ma partie, ce n'était pas les dents, c'était le réseau informatique. Rien à ajouter à ce sujet, sinon que nous sommes parvenus à faire ce que nous voulions faire, et ça n'était pas forcément gagné d'avance.


Saint-Sulpice, juin 2008.

Après le yakitori de midi, pris un café au comptoir du Café de la Mairie, de l'autre côté de Saint-Sulpice et pas très loin de la mairie du 6e arrondissement. C'est l'occasion, comme chaque fois que je parle de ce quartier, de recauser de la tentative d'épuisement d'un lieu parisien de Georges Perec. Les paragraphes 2 et 8 sont écrit d'une table de ce café. Mais nous, on ne faisait que passer.

Du coup j'ai relu la tentative d'épuisement, ce soir.

Le Plume vous salue bien.

Appareil Voigtlander Bessa 1 (folding 6×9, objectif Vaskar 1:4.5/105mm), film Ilford HP5+.

Aucun commentaire: