13 mars 2009

Œil-de-bœuf

Tiens, une manière de bloguer comme une autre : l'association libre. D'un mur de vieil hôpital à un toit de vieil hôpital ; aujourd'hui, d'une fenêtre ronde sur un toit à une fenêtre ronde dans un ascenseur !


Hôtel industriel Berlier, 3 février 2009.

Un ascenseur, oui. L'hôtel industriel Berlier a, derrière ses parois de verre, des espèces de palles-planches horizontales qui, en théorie tout au moins, régulent les flux de lumière et de chaleur. Il possède par ailleurs, c'est bien le moins, des ascenseurs, lesquels sont dotés de hublots donnant, précisément, sur les planches en question et au delà sur les voies de la gare d'Austerlitz.

Par conséquent, c'est fait : j'ai fait de la photographie dans un ascenseur.

Sinon : le terme d'œil de bœuf pour désigner une fenêtre me rappelle toujours un TP de biologie au lycée, lancer de cristallin compris.

Le Plume vous salue bien.

Boîtier Pentax MX, film Fuji Pro400H, objectif 50mm f:1.7.

Supertramp, « Poor Boy » Crisis? What Crisis, 1975.

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