Bon, c'était tout prévu : j'ai fini la pellicule du 6×6 Yashica-Mat ce midi du côté de la rue Watt, et je partais un peu plus tôt que d'habitude du boulot pour amener ça direct au labo. Sauf que j'ai laissé le fourre-tout contenant l'appareil, la péloche et l'objectif 35mm acquis depuis peu sur mon bureau... Parfaitement en sûreté, certes - mais tout de même, c'est vexant.
Le chantier de l'avenue de France vu de la Rue Watt ce midi.
À part ça, dans les questions métaphysico-photographiques du moment : je me repose la question de la couleur et du noir et blanc. Pour l'instant, le compromis, c'est : les films 120 (6×6), en noir et blanc ; les films 135 (24×36) en couleur. Et le numérique, en couleur aussi : je trouve généralement assez médiocres les photos numériques couleur retraduites en noir et blanc. De toute façon, je verrais en fonction de ce que donne ma dernière péloche... Celle que je devais amener à développer ce soir. Pouf, pouf, pouf.
Le Plume vous salue bien.
3 commentaires:
Le N&B c'est quand l'argent tique.
La couleur, c'est coule, même si ça vous fait avaler pas mal de couleuvre. A+
Un "S" en queue de couleuvre eut été plus coloré et vivant, c'est sûr...
Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?
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